La Clé Ancestrale pour Voir l’Avenir Sereinement

La Clé Ancestrale pour Voir l'Avenir Sereinement

Nous sommes les témoins d’une époque de grands changements. Que l’on vive une crise ou non, il y a une clé ancestrale, un état d’esprit, à cultiver toute sa vie. Cela vous permettra de voir l’avenir plus sereinement et de continuer à faire progresser votre bien-être quels que soient les bouleversements qui nous attendent. 

Cet article est disponible en épisode de podcast.

Bonjour à tous, bienvenue pour ce nouvel épisode où j’aimerai vous parler d’une clé, d’un état d’esprit ancestral qui, dans cette période de grands changements, de crise, peut permettre de voir l’avenir différemment. Et si cette clé est cultivée toute sa vie. Si on y pense régulièrement, ça peut vraiment permettre de voir le futur plus sereinement, quel qu’il soit.

OK, donc c’est parti pour cet épisode avec des thèmes en ce moment qui sont forcément influencés par la situation avec le confinement et le covid. Mais ça permet peut être à certains d’entre vous de voir les choses différemment et d’affronter la situation plus facilement. Et aujourd’hui, du coup, j’aimerais vraiment faire une comparaison avec ce qui se passe aujourd’hui, ce que l’on connaît, les bouleversements actuels et avec la situation, par exemple d’avant guerre.

Et évidemment, je vais parler du quotidien et pas des guerres en elles-même qui sont des évènements majeurs, bien sûr. Donc, si on prend le quotidien, par exemple en France avant 1950, on se rend compte que par rapport à aujourd’hui l’environnement, les possibilités étaient relativement faciles à appréhender. On avait quand il s’agissait d’accès aux soins. On avait souvent le médecin du village avec quelqu’un sur place. Pareil pour la nourriture où on avait souvent toutes les familles, qui cultivaient un potager. Et puis, il y avait des marchés locaux. On avait un accès qui était très proche, très local.

De la même façon, c’était pareil pour les biens que l’on achetait, on allait chez des marchands locaux, on savait d’où venaient les produits et c’était très centré sur la région dans laquelle on grandissait. La situation, l’environnement proche était plus facile à appréhender, à imaginer, à cartographier dans son esprit. Et puis, on avait moins de déplacements aussi géographiques. Il y en avait, évidemment, mais c’était quand même plus difficile d’accès. Et plus on remonte dans le temps, plus c’était le cas. Souvent, on grandissait quand même dans un endroit. Et puis on y établissait souvent aussi sa famille, on travaillait et on restait dans la même région.

C’est souvent assez flagrant, bien qu’il y ait dans chaque famille souvent il y a des personnes qui sont parties très loin, mais c’étaient des personnes qui étaient très novatrices pour l’époque par rapport à aujourd’hui, où c’est beaucoup plus facile, beaucoup plus commun. Si je regarde mon père qui fait de la généalogie, c’est flagrant, on se rend compte (il est remonté jusque vers 1600) que les gens restaient dans les mêmes régions. Il y avait très peu de personnes qui en sortaient qui allaient plus loin. Vraiment il y avait une région qu’on connaissait. On y restait, on grandissait, on restait avec les familles. On vivait souvent beaucoup plus ensemble, avec toutes les générations dans une même maison, c’était autre chose.

Il y avait aussi l’environnement. On se souciait beaucoup moins de l’environnement puisqu’on avait l’impression que les ressources étaient inépuisables. Et donc, on souhaitait, c’était très recherché, tout ce qui était de développement, l’accès à la technologie. On espérait que ça aille très vite pour améliorer le confort, les possibilités et l’accès au travail. Mine de rien, aujourd’hui, on parle beaucoup de chômage. A l’époque, tout le monde pouvait relativement facilement trouver un travail, même sans formation, sans études, sans compétences particulières. Il suffisait de montrer de l’intérêt et de travailler dur et on pouvait accéder au travail que l’on voulait dans sa région.

Donc, si on exclut les guerres, les deux guerres mondiales qui étaient des événements vraiment majeurs, le quotidien était vraiment différent de ce que l’on connaît aujourd’hui en seulement une ou deux générations. On a connu des bouleversements qui sont d’une autre dimension, qui viennent vraiment complexifier tout ce que l’on connaît et évidemment, qui viennent énormément augmenter les possibilités que l’on a.

Si l’on pense uniquement au Web, par exemple, avec toutes les possibilités que cela offre. C’est déjà absolument incroyable. On a les déplacements, on en parlait. Aujourd’hui, on peut se déplacer beaucoup plus facilement. Il n’y a qu’à voir le trafic aérien (hors covid) qui a explosé. On peut aussi parler de l’intelligence artificielle, qui n’en est qu’à ses balbutiements, mais qui va modifier énormément nos sociétés. Et puis, mine de rien, on est quasi 8 milliards d’individus. Donc là aussi, la population a augmenté et ça change beaucoup de paramètres, notamment environnementaux.

Donc aujourd’hui, c’est impossible de se représenter toutes les possibilités. C’est trop, c’est trop complexe, c’est trop grand. Il y a trop de domaines que l’on ne peut pas connaître puisqu’on a poussé la complexité dans tous les domaines, très loin. Et même moi, par exemple, qui suit depuis quelques années, depuis que je me suis mis à l’entrepreneuriat, je suis de près tout ce qui est le domaine du Web, de la technologie. Même en étant dedans, en m’y intéressant, je trouve que c’est déjà dur à suivre. En étant à l’extérieur, on se rend absolument pas compte de ce qui se passe, de ce qui se développe et des possibilités que l’on a.

Donc évidemment que l’on peut rapidement se sentir dépassé, se sentir pris dans cette mouvance, dans ces changements de société, sans pouvoir rien y faire et subir d’une façon vraiment négative. Vraiment de se laisser entraîner et de voir, du coup, un futur qui nous parait bien maussade et qui fait peur vraiment à beaucoup de personnes. Parce qu’il est incertain, parce que l’on ne voit pas dans quelle direction on va aller. Par quelles possibilités, quelles nouvelles technologies on va peut être être mangé.

Et ça, c’est quelque chose qui est stressant pour beaucoup de personnes. Mais pourtant, nous n’avons pas encore vécu de grandes crises majeures qui changeraient peut être vraiment tout ce que nous connaissons. Et là, ce serait vraiment difficile avec l’accroissement de la population et notre dépendance à tous ces systèmes que l’on a créé.

Si on parle par exemple, d’une éruption solaire qui réduirait toute notre technologie à néant. Je ne sais pas du tout quel serait le lendemain. Ce serait très difficile. Et puis, évidemment, tout ce qui est maladie, comme l’a on connait avec le covid, mais une version peut être beaucoup, beaucoup plus grave, avec une super bactérie résistante contre laquelle on ne pourrait pas faire grand chose et qui aurait une mortalité bien supérieure.

Et évidemment, on est obligé de parler de changement climatique. Ça, c’est quelque chose de réel qui va modifier grandement notre planète et engendrer probablement des pénuries de ressources. Et je pense principalement dans certains pays, l’accès à l’eau potable. Mais voilà, je vous liste pas tout ça pour vous faire peur, mais il faut quand même comprendre que ce sont des possibilités. Le but, ce n’est pas d’y penser quotidiennement et de les anticiper et d’être du coup un peu terrifié à l’idée du futur. Mais plutôt que de se dire il va y avoir des changements, il y en a toujours eu dans l’histoire de l’humanité.

On était confronté, chaque génération, quasiment à des crises et donc, il faut aussi s’y préparer pour être beaucoup plus serein, pour pouvoir déjà savoir ce qui est important pour nous et comment réagir en cas de crise pour voir le futur plus sereinement.

Et la clé, cette clé ancestrale c’est quelque chose que l’on a en nous dans nos cellules, qui est la clé de la propagation de la vie sur la planète. C’est l’adaptation et c’est ça que l’on doit réussir à avoir en tête par rapport à nos choix que l’on fait et notre comportement. C’est de penser à être adapté, à pouvoir s’adapter aux crises du futur. Et pour ça, il y a plusieurs choses à avoir en tête.

C’est que plutôt que de rester figé dans un mode de fonctionnement, dans des activités, dans certains de nos états d’esprit, justement, c’est de toujours être prêt à s’adapter. Il faut, quoi qu’il arrive, pouvoir être capable de réagir et d’aller dans le bon sens. Je ne parle pas de survivaliste, ça me paraît un petit peu extrême, mais plutôt d’être prêt à changer d’emploi pour adapter sa situation par rapport au contexte ou par rapport à ses besoins. Être capable de changer de région, de pays et aussi, surtout, se préparer soi même, son corps, son esprit, se renforcer continuellement toute sa vie pour ne pas se retrouver peut être bloqué physiquement ou mentalement quand une crise va survenir.

Finalement, c’est devenir agile à tout point de vue et ça donnera vraiment une liberté de mouvement. Quelles que soient les crises ou le futur que l’on va connaître et d’avoir cette liberté et l’état d’esprit de se dire que quoi qu’il arrive, si ça ne nous convient pas, on arrivera à changer et à adapter sa vie pour soi ou ses proches.

C’est vraiment quelque chose, c’est vraiment un luxe. Le luxe suprême, je trouve, et c’est comme ça que j’ai pensé libreneur. C’est vraiment d’être capable d’être pleinement libre pour choisir sa vie. C’est allier la liberté qui donne la possibilité de faire un changement et l’autonomie qui donne la capacité de mettre en œuvre ce changement pour affronter justement peut être une crise ou un événement et pouvoir rester dans le bien être et continuer sa vie sereinement.

Et on voit bien aujourd’hui, avec ce que l’on vit, que notre capacité d’adaptation, elle est vraiment indispensable pour s’adapter aux emplois qui seront toujours disponibles ou qui marcheront, ou aux futures activités qui prendront le pas, peut être sur d’anciennes. Et puis, tout simplement pour conserver et faire progresser toujours son bien être dans la bonne direction. Par exemple, très concretement, je créais des sites Web il y a quelques années, en attendant de pouvoir mettre en place des formations. Je me formais et puis je créais des sites pour des clients et j’ai vu les outils passer vraiment d’une génération à une autre.

Quand j’ai commencé, c’était encore un peu compliqué de mettre en place des sites et de pouvoir faire ce que l’on veut. Et en quelques années, les possibilités sont maintenant incroyables, beaucoup plus faciles d’accès à n’importe qui. Même quelqu’un qui ne connaît absolument pas le code informatique, ce qui est mon cas. Et aujourd’hui, c’est vraiment beaucoup plus simple.

Et je suis persuadé que dans quelques années, n’importe qui pourra créer un site web de façon automatique, en quelques clics, sans aucune connaissance. Ce sera quelque chose qui sera automatisé. Donc, ce n’était pas un projet de toute façon que je voulais développer. Puisque pour moi, c’est une activité qui va bientôt être transformée et je dois m’adapter avant que cet événement arrive et avant que cette crise arrive. Qui peut être si j’avais développé une agence de création de sites web et que j’étais resté un peu dans cet ancien modèle. Une fois que ces automatisation arrivent, eh bien, je perdrais les capacités à générer du chiffre d’affaires pour cette entreprise. Donc il faut faire ses choix, changer en fonction de ce que l’on pressens de l’actualité, des développements aussi et des changements de la société.

On peut aussi citer l’exemple très connu de Kodak, qui a fait faillite en 2013. Je crois qu’elle n’a pas réussi à prendre le virage du numérique, qui est resté un peu dans les anciens appareils photo, même s’ils ont tenté des choses, mais du coup, ils ont fait faillite. Ils ont uniquement pu rebondir parce que c’était une énorme société qui a pu être remaniée avec des nouveaux capitaux. Mais c’est un exemple assez concret. Le numérique était arrivé. Tout le monde voulait avoir accès à des appareils photo de type numérique pour ne plus avoir les pellicules et il aurait dû sentir le changement arriver beaucoup plus tôt, s’adapter et proposer des nouvelles gammes. Et si on ne s’adapte pas, si on n’est pas prêt à ces adaptations là, souvent, on va rencontrer des difficultés.

C’est aussi l’exemple en ce moment avec le Covid, typiquement les personnes qui font des formations uniquement en présentiel. Certaines se sont tout de suite adaptées en proposant de la visio, de la visioconférence ou des formations en ligne via des vidéos. Et ceux qui ne se sont pas adaptés. Voilà déjà on voit qu’il y a beaucoup de souci pour le deuxième confinement où là, les répercussions économiques vont être compliquées et il y a beaucoup d’entreprises qui vont être contraintes de fermer, même avec les aides du gouvernement.

Et c’est la même chose pour les magasins uniquement physiques, qui dépendent uniquement d’un seul lieu et qui ne peuvent proposer que des services sur place. Ou l’inverse, il suffit d’avoir une crise qui va impacter le web et qu’on ait plus d’accès, par exemple, à Internet. Si votre activité et vos activités sont uniquement sur le Web et que vous n’avez aucune capacité d’adaptation, que vous n’avez absolument pas pensé à cette possibilité là, et bien là aussi, il n’y a plus d’autre possibilité de proposer vos services et ça peut être du coup, très compliqué de passer par dessus cette crise.

Donc, on voit beaucoup de personnes qui sont dans mon domaine qui proposent de la formation en ligne. On les voit qui investissent aussi, notamment dans des biens immobiliers physiques, pour s’assurer justement d’autres rentrées d’argent. Si jamais on avait des crises de ce type là, il faut toujours penser à se diversifier.

Et puis, je vous donne encore deux exemples très parlant. C’est par exemple les conducteurs de camions aujourd’hui. Moi, je serai conducteur de camion quand je vois l’arrivée des voitures autonomes, des camions autonomes, même s’il y aura peut être encore quelques années de mise en place. Je m’inquièterai très fortement pour mon emploi et je chercherai probablement à changer ou à modifier mon activité.

Et puis, mon dernier exemple, avec la chaleur, le changement climatique. Avant, je vivais dans le sud de la France. L’été, ça devient invivable entre la chaleur et les moustiques. Tout le monde fait installer des clim, mais c’est un changement, un bouleversement qui arrive, donc peut être l’anticiper. Et quand je vois des personnes qui s’endettent sur trente ans sur un achat immobilier dans le Sud, je me dis que peut être ils connaîtront des difficultés et que cet immobilier là va drastiquement chuter.

Alors, peut être pas tout de suite. Mais quand on parle de trente ans déjà, l’impact du changement climatique se fera grandement sentir, beaucoup plus qu’aujourd’hui. Et on sera dans des climats qui seront bien différents de ce qu’on connaît et de ce qu’on connaissait il y a encore peu. Donc, finalement, on se rend compte que l’une des composantes, l’une des possibilités pour réussir à s’adapter, c’est de connaître. C’est la connaissance, donc continuer d’apprendre toute sa vie.

C’est l’une des clés pour réussir à maintenir son bien être tout au long de sa vie. Apprendre toute sa vie, et pas uniquement lorsque l’on est étudiant, c’est d’autant plus important aujourd’hui pour réussir à suivre la rapidité à laquelle les changements arrivent. Et il suffit que je pense à l’intelligence artificielle. Quand je vois les possibilités et tout ce qui est déjà pensé en ce sens, elle va radicalement transformer nos sociétés. Et donc, il faut forcément un peu suivre ça pour apprendre, pour connaître ce vers quoi on va pouvoir s’adapter, quand le moment viendra ou quand on pourra peut être saisir des opportunités en relation avec ça.

Donc vraiment apprendre toute sa vie. Et puis déterminer ce qui compte le plus pour chacun, pour nous. Qu’est ce qui nous rend heureux ? Quelles sont les activités qui nous sont essentielles et s’organiser autour ? Et puis être prêt à lâcher, ce qui n’est justement pas essentiel. Je pense principalement aux biens matériels, qui sont souvent plus des pods ou des handicaps. Évidemment, je pense notamment aux maisons, à l’immobilier, puisque ça nous ancre forcément dans un lieu géographique qui restreint l’activité que l’on a autour. Vraiment, ça peut vraiment être un poids pour s’adapter et puis, pour continuer à vivre sereinement, ne pas subir de plein fouet une crise qui serait géographique, là où on vit.

Bien sûr, c’est aussi dans ces bouleversements que l’on peut voir des opportunités. Si vous avez des idées de projets ou si un jour vous aimeriez peut être lancer un projet. C’est très bien de continuer à apprendre et à penser à quels seraient les besoins futurs puisque là aussi, il y aura plein d’opportunités. Là, on voit simplement, avec la crise du covid qu’il y a déjà plein de bouleversements.

On peut imaginer facilement dans un futur où on aura de plus en plus de télétravail pour tout le monde et que, du coup, la vie en ville sera moins privilégiée puisqu’il y aura moins de trajets. Donc, même si les gens doivent encore faire un ou deux trajets par semaine, ça deviendra rentable d’habiter plus loin, peut être à la campagne, avec une qualité de vie différente.

Cela veut dire une pression immobilière plus forte à la campagne. Ça veut dire des besoins de services de proximité aussi dans ces campagnes, d’avoir évidemment accès au web ou à la technologie, de pouvoir télétravailler dans le confort et dans la sécurité. Et puis, peut être que les déplacements aussi vont s’adapter. On aura si on se déplace une fois par semaine à son travail. On aura peut être moins besoin de tous avoir une ou deux voitures et de pouvoir se déplacer avec d’autres personnes ou avec des modes de transport différents.

On aura aussi des opportunités dans tout ce qui a accès aux soins puisqu’il y a moins de médecins. On voit que les consultations par vidéo se multiplient. Là aussi, il va y avoir forcément des opportunités. Et puis, bien sûr, il faudra apprendre de plus en plus à vivre avec la nature et pas au détriment de notre environnement. Donc, tout cela va offrir des opportunités aux personnes qui voudraient se lancer. Cela permet aussi de voir l’avenir de façon plus positive.

Alors évidemment, il y a aussi des personnes qui voudront rester un petit peu dans l’ancien modèle. Et ça, on le voit, c’est possible. Il y a maintenant de nombreux exemples un petit peu de retour à la nature de personnes qui vivent ensemble et qui refont une sorte de petit village, qui vivent de la terre et qui sont indépendantes, autonomes. Donc, si c’est un choix volontaire, tant mieux. Simplement, il faut bien garder en tête qu’il faut être capable aussi de s’adapter s’il y a un problème, une crise et que l’on soit capable de subvenir à ses besoins essentiels.

Puisque les bouleversements qu’on va connaître obligeront sûrement à des déplacements avec les changements climatiques. Il y aura forcément des déplacements de populations. Ça a déjà commencé et cela impliquera forcément aussi des moyens financiers pour maintenir son bien être et peut être le futur de sa famille. Et puis, avec la complexification de nos systèmes, de possibilités que l’on a, évidemment, on va avoir plus de gens qui pourront tenter de se lancer sur des activités nouvelles ou sur des activités plus variées.

Et donc, il y aura plus de possibilité de choisir peut être son rêve ou quelque chose qui a du sens. Et c’est pour cela que l’on voit aujourd’hui les initiatives qui se multiplient. Moi, je vois autour de moi toutes les personnes, de nos amis, de notre génération. Absolument tous se questionnent sur ce qu’ils pourraient lancer. Qu’est ce qu’ils pourraient faire ? Et c’est une bonne chose puisque cette quête de sens, finalement, oblige justement à s’adapter, à apprendre.

Et ça apportera forcément de la valeur à la société. En tout cas, moi, c’est vraiment l’impression, plus qu’une impression, c’est vraiment ce que j’ai ressenti. Quand je me suis mis à mon compte. J’ai vraiment vu ça comme une ouverture des possibilités, avec un choix infini par rapport à tout ce qui existe aujourd’hui. Le monde actuel est incroyable, vraiment. Si on le voit dans ce sens là, il ne faut pas l’oublier, surtout en ce moment.

Oui, il y aura des bouleversements, des crises à chaque fois. Chaque génération en a connu. Simplement aujourd’hui peut être qu’elles sont d’une dimension différente, avec des choses que l’on ne connaissait pas. Mais toujours, l’humain a connu des changements, des changements qui ont été de plus en plus vite. Ça reste l’histoire de l’humanité et on est en évolution constante, toujours plus rapide. Et du coup, vraiment, cette capacité d’adaptation doit nous accompagner.

C’est ce qui, finalement, a toujours déterminé la survie. Et aujourd’hui, peut être qu’on ne parle pas de survie, mais de maintenir ou de continuer à faire progresser son bien être. Donc, on ne sait pas quel futur nous aurons, quelle crise nous aurons à affronter. Mais déjà, de se sentir agile, de sentir que l’on a une capacité d’adaptation qui est déjà bonne, qui est forte. C’est déjà voir ce futur beaucoup plus sereinement et de se dire que on fait nos propres choix et que, quoiqu’il arrive, on pourra aller dans la bonne direction.

Et je trouve que c’est vraiment l’une des forces du développement personnel. On est de plus en plus résilient. De plus en plus capable de s’adapter à n’importe quelle situation. Donc, surtout, continuer d’apprendre pour être finalement au courant de ce qui se passe, de ce vers quoi on va. Et ça vous permettra déjà de faire des choix plus éclairés et du coup, d’être plus adaptés et de vous sentir beaucoup plus à l’aise avec le futur et tous les bouleversements que l’on va connaître.

Je vous remercie de votre écoute. Prenez bien soin de vous et je vous dis à très bientôt dans un prochain épisode. Ciao.

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