Contrer nos Limites Physiques ou Mentales

Contrer nos Limites Physiques ou Mentales

On a tous des limites physiques ou mentales qui vont nous barrer la route vers nos objectifs dans notre vie. La façon dont vous allez y répondre sera la clé vers la progression ou la régression de votre aventure vers vos rêves.

Cet article est disponible en épisode de podcast.

Salut à tous, bienvenue pour ce nouvel épisode où je veux vous parler de nos limites physiques ou mentales. Quelle que soit la personne que vous considérez, elle aura toujours des limites, soient innées dans sa constitution, sa physiologie ou alors des limites accumulées suite à nos expériences dans la vie et la clé vers la progression ou la régression de cette personne tient dans la réponse qu’elle va apporter à ses limites.

Donc, aujourd’hui, pour illustrer cet épisode, ce sujet, je vais vous parler du coup d’une de mes limites, une limite physique que j’ai depuis un moment. Donc on en revient au lycée où j’étais dans un lycée général, mais avec une option sport, c’est à dire que je faisais beaucoup de sport toute la semaine et je crois que de mémoire en seconde, je devais faire peut être je crois que 12h de sport en plus. Puis après, ça se réduisait au fil des années pour en terminale, je crois qu’il restait plus que 4 ou 6 heures en plus par semaine.

Donc c’était quand même beaucoup de sport, en plus du programme classique du lycée. Mais du coup, j’étais dans une très grande forme physique, que ce soit au niveau de l’endurance, de l’agilité, de la souplesse. Je me sentais vraiment très en forme. J’avais extrêmement confiance dans mon corps pour effectuer différentes actions, notamment dans le sport. Donc, ça me donnait beaucoup, beaucoup de confiance.

Et puis arrivé vers la fin de la terminale. Je faisais un entraînement de course à pied et je me suis mis à avoir mal sur le côté d’un de mes genoux. Donc bon, je me suis dit OK, c’est une première ça va certainement passer. Puis j’ai insisté et c’est pas du tout passé. J’ai eu tellement mal sur le côté que j’ai dû m’arrêter. Arrêter de faire cet entraînement, donc, c’était déjà une première pour moi parce que jusqu’à présent, je m’étais quasiment pas blessé alors que je faisais énormément de sport.

Et le problème, c’est que ça a perduré depuis ce jour là. A chaque fois que je courais à nouveau assez longtemps. J’avais une très forte douleur, des picotements sur le côté du genou et qui faisait que j’étais obligé, au bout d’un moment de m’arrêter parce que je ne pouvais plus poser le pied à terre tellement ça me faisait mal. Alors, j’ai fait, j’ai fait des examens et j’ai commencé à pratiquer quelques soins de kiné, de renforcement même d’ostéopathie, et je n’avais qu’une idée en tête, c’était de ne plus avoir mal au genou et pouvoir faire comme avant, puisque c’était quand même très bloquant pour moi, qui avait presque aucune limite physique.

J’étais vraiment avant, très, très en forme. J’avais aucun souci. Donc j’ai continué plusieurs soins, à consulter plusieurs docteurs et c’était l’échec de tous ces soins là. On m’a apporté différentes réponses, mais ce qui revenait, c’était que j’étais en train de perdre ma souplesse de la jeunesse. Et ma constitution faisait que j’avais les tendons externes, qui frottaient au bout d’un moment, qui s’enflammaient en frottant sur les côtés du genou jusqu’à ce que j’ai tellement mal que je doive m’arrêter.

En gros, il n’y avait pas grand chose à faire. Et ça, ça a été très difficile à entendre et à vivre puisque j’allais devoir maintenant être différent, ne plus avoir cette confiance totale et peut être perdre un peu ce statut que j’avais d’être dans le club des sportifs, au lycée, qui avait l’air cool et qui pouvait faire un peu ce qu’il voulait dans tous les sports. Donc, là, j’avais rencontré ma véritable première limite physique à laquelle, en théorie, je pouvais rien faire.

Donc ça a été difficile et même si j’ai continué encore un petit peu le sport dans mes études, j’ai quasiment arrêté tout ce que je faisais du jour au lendemain. En tout cas, dans l’intensité et dans le nombre de séances de sport que je faisais. C’est comme si je ne faisais plus rien et au fil de mes études, j’ai fait de moins en moins. C’était très difficile d’accepter que je ne pouvais plus faire autant.

Du coup, je l’ignorais un peu jusqu’à mettre le sport de côté. Quand j’étais confronté à devoir faire les choses quand même, comme aller courir ou faire une randonnée avec des amis ou une sortie dans le cadre de mes études, j’ignorais un peu le souci. Sans en parler, bien sûr. Et puis en faisant les choses quand même, quitte à avoir mal et à serrer les dents et puis a m’enflammer véritablement les genoux et avoir mal pendant plusieurs jours ou semaines après.

Donc, du coup, c’était une réponse qui était vraiment très mauvaise, soit j’ignorais la chose en mettant de côté et en plus, j’ai arrêté complètement le sport en me disant que du coup, c’était dur de ne plus faire le sport comme avant. Du coup, j’arrête le sport et ça a été pire encore après. Après mes études, puisque mon premier poste de salarié était à Paris. Et là, l’excuse était que toutes les salles de sport ou les différents sports étaient trop chers.

Donc je ne faisais pas de sport. C’était une belle excuse pour ignorer cette limite physique que j’avais et qui avait instauré aussi une limite mentale du coup. Pour moi, donc, cette limite physique a entraîné véritablement un cercle vicieux dans lequel j’ai perdu ma santé physique et même cette confiance que j’avais dans mon corps. Ca a vraiment fait une une spirale dans laquelle je me suis de plus en plus blessé puisque j’étais moins en forme et de plus en plus enflammé, avec tous les soucis que ça cause au niveau physique et au niveau même de sa santé mentale. Puisqu’on sait aujourd’hui que le sport a un impact colossal dans absolument tous les domaines de votre vie. Donc, c’est vraiment très important s’il y a des activités que l’on aime de les poursuivre.

Donc, là, la réponse à cette limite physique que j’ai apportée, elle était vraiment mauvaise. Jusqu’au jour où, dans le cadre du développement personnel. Encore une fois, j’ai compris quelque chose qui paraît bête ou simple sur le papier, mais qui est extrêmement important, c’est que quelque que soit les limites que vous avez, on a deux choix soit on arrête de faire les choses et on s’en sert comme excuse et on est dans un cercle vicieux. Soit on s’adapte, on s’adapte à sa ou ses limites et c’est là que va se faire toute la différence.

Pour contrer vos limites mentales ou physiques, il faut vous adapter. Et c’est là où, une fois que l’on a compris ça, une fois qu’on a vu des exemples. Et il y en a plein. Mais quand vous voyez des personnes qui sont lourdement handicapées et qui arrivent à réaliser quand même leurs rêves en s’adaptant, en changeant la façon d’appréhender le problème, leur objectif. Il faut s’en inspirer. Si on s’adapte, on peut contrer toutes nos limites et atteindre quand même nos objectifs.

Donc, du coup, à partir du moment où j’ai compris ça, je me suis dit que la clé c’était alors d’apprendre à se connaître, d’apprendre à connaître ses limites, puisque si on ne se connaît pas vraiment, si on fait que les ignorer, on ne pourra pas les contourner, les contrer pour les dépasser. Donc, d’abord, apprendre à connaître vos limites.

Alors en recherchant des choses, ça peut être par le biais du développement personnel ou par des examens dans le domaine de la santé. Ça peut être extrêmement variable selon vos limites, mais une fois que vous les connaissez. C’est là où vous pouvez commencer à chercher des solutions adaptées, des solutions physiques ou des solutions mentales. Et il en existe quelque soit votre domaine. Il existe toujours probablement énormément de solutions et une fois que vous connaissez ces solutions, la clé, comme dans tous les autres domaines, c’est de tester ces solutions et de les ajuster à votre problème, à votre profil.

Et même si vous connaissez de nombreux échecs, si à chaque fois vous testez quelque chose et que ça ne marche pas. Il faut se dire quelle est l’alternative ? Or généralement l’alternative à ne rien faire, ça n’apporte rien de bon puisque moi, dans mon cas, par exemple, l’alternative à ne plus faire les activités ou ne plus faire d’activités du tout. Ça va entraîner une mauvaise santé physique et une mauvaise santé mentale, dans ces relations. Ça peut influencer absolument tout.

Généralement, voilà, il faut se dire « est ce que je veux cette alternative ou est ce que je continue à tester des choses, à progresser dans la connaissance de ma limite ? »

Et puis, petit à petit, on va réussir quand même, à trouver des solutions qui marchent. Même un petit peu, il y aura toujours quelque chose à faire. Ce sera toujours mieux que de ne rien faire et d’être dans l’ignorance ou dans le refus, dans le rejet. Dans tous les cas l’adaptation sera toujours plus bénéfique puisque à tester des choses, vous allez en ressortir avec de nombreux apprentissages sur vous, votre corps ou le sujet sur lequel est votre limite. Et ce sera toujours beaucoup plus intéressant, beaucoup plus bénéfique.

C’est une mentalité à acquérir, de se dire que je vais toujours m’adapter pour contrer mes limites. De toute façon, vous aurez des résultats dans la vie qui seront bien différents avec cette pensée là plutôt que d’arrêter à la moindre difficulté et de mettre de côté.

Donc, aujourd’hui, j’ai encore mal à mes genoux. J’ai encore des choses à tester, mais aujourd’hui, je sais déjà m’adapter par rapport à cette douleur, en fonction de plein de choses, de l’activité que je fais. J’ai des chaussures différentes par rapport à avant. J’ai des genouillères spécifiques qui me permettent de repousser assez loin la limite que j’ai. Il y a plein de choses à tester. Moi, j’ai encore des choses à voir de ce côté là, même si j’ai fait beaucoup.

Mais je sais aujourd’hui ce que je peux faire, comment je peux les faire différemment. Et je sais qu’il existe énormément d’autres activités, que je peux faire sans soucis et retrouver le plaisir que j’avais quand j’étais au lycée. Il suffit de s’adapter. Et rien que cet apprentissage là est très important. J’ai appris qu’il fallait se comprendre, se connaître et qu’il y a des solutions pour tout. Du moment que l’on garde la motivation de s’adapter à soi, de faire, de s’adapter à ses limites et de faire bouger ses limites en s’adaptant.

C’est un peu ce que je veux proposer avec ce projet de podcast et le projet Libreneur.com. Je veux vous proposer des contenus, des solutions qui sont spécifiques aux différents profils puisqu’on est tous différents et qui sont ajustables puisque c’est un petit peu là, c’est la clé pour avancer plus efficacement, c’est de s’ajuster à soi pour avancer plus vite et plus loin. Jj’espère que cet épisode vous aura motivé à voir vos limites différemment et peut être à avoir envie de les affronter à nouveau.

En tout cas, je vous remercie pour votre écoute et je vous dis à très bientôt pour le prochain épisode ciao.

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